« Nous confondons le conflit et la violence, alors que les deux ne sont pas synonymes. La violence n’est pas la colère ni un cri, ni une sensation, un sentiment ou une action spécifique. Je définis la violence comme l’imposition du pouvoir-sur. (...)
Dès que nous essayons de causer un changement, nous pouvons nous attendre à un conflit.
S’il n’y a pas de résistance à un changement, c’est qu’il n’y a pas de vrai changement. Au lieu d’avoir peur du conflit, nous pouvons apprendre à accueillir la libération d’énergie qu’il représente. Quand nous opposons notre énergie à un système oppressif, son pouvoir doit se mobiliser contre le nôtre. Ses énergies, ses ressources sont alors détournées de leur travail destructif. »