« Dans la cancel culture, il n'y a pas de prescription, ni de droit à l'oubli. Quand vous avez été annulé, c'est normalement à vie. (...) D'un point de vue politique, la cancel culture pose un autre problème. Elle est une vision encore une fois ultra-individuelle des phénomènes d'oppression. On ramène la domination à un individu, en oubliant les dynamiques de système qui sont derrière, les rapports de classe, et le risque, c'est de dépolitiser les enjeux. »